Des pois pour une intemporelle
Au destockage annuel de PPMC*, j'avais acheté, il y a deux ans, un coupon de coton gris à pois blanc.
Je l'ai ressorti cet été pour confectionner ma première robe Astrid Le Pr*vost (IPFM, modèle robe à bretelle).
Ce qui m'a donné le plus de mal, ce sont les fronces. Pourtant, j'en avait déjà fait ici et ça ne m'avait pas posé de problème. J'ai vraiment cru que j'étais en train de tout rater. Finalement, le résultat est convenable. Je crois qu'entre ce qu'on voit sur l'envers du tissu et ce qu'on en perçoit après, une fois que le vêtement est retourné sur l'endroit, il y a vraiment un écart.
C'était en revanche la première fois que je faisais une patte indéchirable. Je n'ai pas trouvé ça sorcier à faire.
Le patron prévoit de coudre trois boutons au dos de la robe. Comme j'arrive à la mettre sans ôter les boutons, et que je n'aime pas faire les boutonnières (j'ai toujours peur de tout massacrer), j'ai simplement cousu des boutons blancs d'ornement.
Désolée, mon fer à repasser a pris quelques vacances, lui aussi...
Ce modèle est facile à faire et très confortable.
La robe est facile à enfiler et à retirer ce qui simplifie pas mal les choses au camping ou à la plage.
* à propos du déstockage annuel, il y a deux ans, on était arrivés à l'ouverture (9h30) le premier jour et on avait fait trois heures de queue pour se retrouver dans un hangar rempli de couturières en furie (je me mets dans le tas) et de mamans accros aux barettes PPMC. Cette année, nous y sommes allés l'après-midi du premier jour et c'était parfait. On n'a pas fait la queue, à l'intérieur, l'ambiance était beaucoup plus sereine: on pouvait vraiment voir et toucher les rouleaux de tissus. Et il y avait le même nombre de personnes pour servir les clients. Je n'ai pas eu l'impression qu'il y avait moins de choix (évidemment, je cherchais des coupons et de la toile enduite, pas le dos nu coccinelle en taille 3 ans...). Si j'y retourne l'an prochain, ce sera à 16h30 le jeudi.